Je me demande ce que Mike Budenholzer va faire d'ici-ce que les hauteurs qu'il va à l'échelle dans la NBA, combien d'anneaux de championnat ornera ses doigts-maintenant que les faucons le laisser simplement sauter sur le marché libre?

En général, les entraîneurs et les gestionnaires ne se lèvent pas à la grandeur une fois qu'ils sont sans entraves de l'une des franchises locales défaillantes. Il n'y a pratiquement aucune trace d'un chef de terrain évacuant notre ville, et laissant une vraie traînée de regret derrière lui. Parfois, un sentier gluant-voir Bobby Petrino-mais rarement le regret.

Atlanta Hawks Magasin,Budenholzer est un très bon coach. Mais peut-être même en reconnaissant que, nous ne lui avons jamais donné assez de crédit, selon ce récent post Washington annonce:

«la chose qui s'est avérée être une caractéristique du temps de Budenholzer avec les faucons était sa capacité à développer et à améliorer le talent. C'était le cas, année après année, «l'Université Hawk» a raffiné un joueur après l'autre et a pris leurs jeux à un nouveau niveau.

Il semble être en forte demande comme un sujet d'entrevue d'emploi. Déjà il a dickered avec Phoenix et a retiré son nom de la considération. Une cible de valeur élevée des Knicks de New York, Budenholzer est répandu pour être en conflit pour un emploi avec les Bucks de Milwaukee. Le vieux coach des Hawks est soudainement l'une des plus jolies filles de cette danse. Son ego est nourri et arrose comme un prix rose.

Encore une fois, comment un tel chef de valeur évidemment précieux des hommes et de polissage de talent avec deux ans à gauche sur son contrat peut être libéré sans compensation reste impair. Mais c'est la rupture nette que les Hawks ont choisie.

Si Budenholzer suit la tendance de tous les autres entraîneurs qui ont quitté-ou, plus probablement, ont été invités à quitter-Atlanta, il ne hantera pas son ancienne résidence avec ses accomplissements.    

Tiré par l'impatient et impétueux Ted Turner en 1984, Joe Torre est la seule exception notable. Il a finalement atterri un très bon concert avec les Yankees de New York et a remporté quatre séries mondiales avant de traîner au Hall of Fame.

Lon Kruger a fait à un quatre final avec l'Oklahoma depuis son licenciement des faucons, seulement prouvant lui-même plus d'un type d'université.

Mais plus probablement, la sortie d'Atlanta suit la voie modeste de tels exemples comme: un entraîneur de NBA d'une seule fois de l'année-comme Budenholzer-Mike Fratello n'a jamais fait hors du premier tour des séries éliminatoires en huit saisons (avec Cleveland et Memphis) après son temps avec les faucons.  

Il n'y a pas eu un seul entraîneur de faucons qui a déménagé et a mis en place un record de la NFL gagnante ailleurs. Marion Campbell a perdu à Philadelphie, Dan Henning à San Diego, Lauzon Bennett à Tampa Bay. Mike Smith, toujours en attente d'un emploi de coaching de tête, est la seule possibilité de modifier cette tendance. Mais personne n'a l'air intéressé.

D'autres entraîneurs de Faucons d'une certaine renommée-à savoir Lenny Wilkens, Hubie Brown, Cotton Fitzsimmons et Kevin loughy-tous n'ont eu aucun mal à trouver un emploi après avoir quitté Atlanta. Seulement Fitzsimmons, cependant, a obtenu jusqu'à une finale de conférence.

Après sa sortie "harmonieuse" d'Atlanta, coach Bud est devenu une propriété assez chaude pour quelqu'un qui vient de 24-58. Juste 46, il a beaucoup de temps pour aller quelque part, résoudre les problèmes et faire quelque chose de gentil. On ne lui reproche rien. Et lui souhaiter une longue carrière et juste assez de succès pour inspirer l'affection, mais pas l'envie, dans ceux qu'il a laissé derrière.